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30 juin 2012

CE BLOG EST EN PAUSE PROVISOIRE

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17 juin 2012

LETTRE OUVERTE A UNE USURPATRICE

 

Lettre ouverte à Valérie Trierweiler

 

Madame,

Lorsque vous êtes apparue aux côtés de François Hollande, après qu’il eut quitté Ségolène Royal, les citoyens français ont accepté votre présence, certains avec interrogation, d’autres avec un petit sourire, mais la plupart avec gentillesse. En France, l’amour est roi et les nouveaux couples qui se forment, surtout en politique, attirent plutôt la bienveillance.

Nicolas Sarkozy avait bénéficié de cette même « grâce » lorsque Cécilia était partie. Il s’en était expliqué, peut-être un peu trop, en conférence de presse et s’était marié avec Carla Bruni. Autre temps, autre mœurs, diriez-vous. Effectivement, qu’il s’agisse du général de Gaulle avec « tante Yvonne », de Giscard d’Estaing et d’Anne-Aymone, de François Mitterrand et de Danielle ou même de Jacques Chirac et de Bernadette, ces femmes versaient plutôt dans le caritatif discret que vers l’émergence people tapageuse.

Il est vrai cependant que la presse, pour François Mitterrand, a laissé tomber un manteau de discrétion sur sa double vie qu’il n’a révélée qu’à ses dernières heures. Déjà, il paraissait (mais qui a osé en parler ?) tout à fait anormal que sa deuxième « épouse » et sa fille soient prises en charge par l’État : appartement officiel sur le Quai Branly, voitures, chauffeurs, gardes du corps, cuisines et cuisiniers.

Bref ! Les frasques de François Mitterrand, gardées secrètes par des journalistes complices, ont coûté quelques 8 à 10 millions d’euros au budget de l’État

Carla Bruni n’a pas agi dans ce sens ni Bernadette Chirac. Mais vous voilà arrivé et avec vous, comme le dit la gauche, la modernité, ringardisant tout ce qui s’est passé avant.

Après tout, François Hollande a le droit d’avoir comme amie qui il veut et le temps qu’il le désire. Quant au titre de « première dame », il est usurpé. Ce statut n’existe pas et a été monté de toutes pièces par des journalistes avides de sensationnel. Vous n’avez, Madame, aucune existence légale d’autant plus que vous n’êtes ni mariée, ni pacsée. Que dirait-on d’un président de la République qui accumulerait les « premières dames » comme on accumule des amies ou des flirts ?

Vous avez néanmoins exigé d’avoir autour de vous une équipe composée d’hommes et de femmes qui vous suivent, qui vous aident, qui travaillent avec vous et qui sont payés par l’État. Au nom de quoi l’État doit-il s’occuper de votre secrétariat pléthorique ? Ce n’est pas, je pense, pour vous aider à écrire des articles dans votre journal « Paris Match ».

Voici un autre problème. Vous vous réclamez, à juste titre, du statut de journaliste et vous désirez continuer à écrire. Au début de la campagne présidentielle et même, si je ne me trompe, dès l’élection de François Hollande, vous avez clamé haut et fort que vous ne renonceriez pas à écrire dans l’hebdomadaire « Paris Match » et vous avez même annoncé que vous alliez interroger les grands de ce monde pour faire des papiers de politique étrangère ! Journaliste oui, mais journaliste politique non !

Il me semble que ce métier est incompatible avec la fonction que vous aimeriez avoir, même si elle n’est pas officielle. Vous avez donc décidé de faire du journalisme de bavardages pour bien montrer votre autonomie par rapport à votre ami François Hollande. Vous avez néanmoins accepté, demandé, peut-être même exigé de l’accompagner dans ses voyages officiels. A quel titre ? Simplement d’amie !

Il y avait et il y a toujours un obstacle : Ségolène Royal ! Vous ne la supportez pas, elle qui est pourtant mère des 4 enfants de François Hollande. Il semblerait qu’à la Bastille, lorsque François Hollande a « claqué une bise » sur les deux joues de Ségolène Royal, vous ayez exigé qu’il vous embrasse sur la bouche pour montrer la différence de statut ! Cet acte était sinon puéril du moins cruel.

Voici maintenant qu’en femme moderne, vous tweetez. Vous avez réussi, par vos bavardages, à ébranler la campagne électorale et à ridiculiser la France.

Ségolène Royal est candidate, certes parachutée, en Poitou-Charentes. Elle affronte Monsieur Falorni, implanté localement depuis de nombreuses années et ami de François Hollande. Il était naturel que les caciques du Parti socialiste viennent à son secours, elle qui avait été la femme candidate à l'élection présidentielle de 2007.

Il était peut-être moins évident que le président de la République se mêle de ces élections. En Président « normal », il avait annoncé qu’il n’y participerait pas. Les Français avaient d’ailleurs compris que le petit mot de soutien à Ségolène Royal était plus affectif que politique. Elle avait été sa compagne pendant si longtemps.

Mais vous ne la supportez pas, taraudée par la jalousie. Après le ridicule de « embrasse moi sur la bouche » que, semblait-il, vous aviez prononcé, voici maintenant la trahison ! En effet, de quoi vous mêlez-vous en soutenant Monsieur Falorni qui, au demeurant, reste très sympathique ? Est-ce en tant que journaliste politique que vous prenez position pour un candidat ?

Il s’agirait là d’une déviation intolérable de la neutralité politique d’un journaliste. Voyez-vous Monsieur Jean-Michel Apathie, Madame Ruth Elkrief, Monsieur Alain Duhamel prendre position pour qui que ce soit ? Ils devraient rendre immédiatement leur carte de presse, s’inscrire à un parti politique et ne plus parler. Certes, beaucoup de journalistes, beaucoup de journaux, sont à gauche et l’ont montré lors de ces dernières élections. Mais vous, Madame, journaliste à « Paris Match », vous n’auriez jamais dû prendre position. Ce n’est donc pas comme journaliste que vous avez envoyé ce tweet, vous êtes trop intelligente pour tomber dans un tel piège.

Est-ce pour affirmer votre indépendance vis-à-vis de votre compagnon ? Peut-être aussi pensiez-vous affirmer l’importance de la liberté de la femme ? Je ne le crois pas non plus car je ne suis pas sûr que la liberté consiste à faire des gaffes. Peut-être ce mot est-il trop faible ? Il s’agit d’une faute grave. En réalité, vous ne pouviez pas imaginer une seconde que Ségolène Royal, élue, puisse un jour arriver au fauteuil de présidente de l’Assemblée nationale. « Comment cette femme, qui était avec mon ami auparavant, qui a vécu si longtemps avec lui, peut-elle revenir en pleine lumière ? ».

Mais, pire encore, vous imaginiez, dans vos rêves les plus épouvantables, dans les cauchemars les plus terribles, les cérémonies officielles présidées par François Hollande obligatoirement accompagné par Ségolène Royal, en tant que quatrième personnage de l’État. Vous cauchemardiez à l’idée de voir ces grands dîners à l’Elysée, ces dîners officiels où votre place était équivoque, alors que Ségolène, rayonnante, aurait été proche de votre ami par la grâce du protocole. D’ailleurs, c’est pour cette raison déjà qu’à La Rochelle, vous aviez exigé, semble-t-il, que François Hollande parle de vous comme de « son unique amour ». Petite flèche empoisonnée dans le dos de Ségolène Royal.

La France, par ce tweet, a été ridiculisée dans le monde entier. Une si petite phrase ayant de telles conséquences ! Vous avez non seulement desservi la France où vous n’avez aucun rôle à jouer même si vous avez accompagné François Hollande dans ses voyages officiels à l’étranger (ce qui, déontologiquement, diplomatiquement, était déjà une extravagance), mais vous avez desservi le président de la République élu par une attitude grotesque de femme jalouse qui se mêle de politique pour entraver la carrière de son ami ou compagnon.

Vous avez ridiculisé et humilié les femmes des autres présidents français qui, elles, faisaient de l’humanitaire. Vous avez, semble-t-il, balayé d’un revers de la main ces actions remarquables qu’elles avaient menées et, par conséquent, vous avez méprisé tous ceux qui, en France ou ailleurs, ont consacré leur vie aux enfants, aux handicapés, à ceux qui étaient atteints du SIDA, etc.

Bref, ce petit tweet de rien du tout a été le révélateur, Madame, d’un malaise que les Français n’osaient pas admettre, qui mélange la faiblesse du président de la République et la méchanceté de sa compagne.

Acceptez, Madame, mes sentiments mêlés de tristesse, de rage et de surprise.


Pr. Bernard DEBRÉ
Ancien Ministre
Député de Paris
29 mai 2012

LA CONDAMNATION DE JEAN-MARC AYRAULT AUJOURD'HUI PREMIER MINISTRE

 

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Révélations : Retour sur la condamnation pénale du Premier ministre Ayrault

18 mai 2012 | Classé dans: France ,Les dossiers , Présidence Hollande | Posté par: Jean-Patrick Grumberg
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> > Considérant que le travail d’un journaliste est de faire une enquête et non de cirer des pompes, j’ai fait mon travail de recherche.
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> > Rappel : en 1997, le procureur de la République recommande de condamner le prévenu Ayrault à trois mois de prison avec sursis et aucune amende pour « détournement grave des règles du code des marchés publics ».
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> > Le juge, fait relativement rare pour un grand élu de l’Etat, double la peine, et l’assortit d’une amende de 30.000 Francs.
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> > Voici les raisons de la sévérité du juge.
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> > Il était reproché à Jean-Marc Ayrault d’avoir confié l’impression du journal de la ville, ainsi que la rétrocession de 45% des publicités, à un homme d’affaire véreux, Daniel Nedzela, convaincu d’être le financier du Parti Socialiste local, et condamné à trois ans de prison (dont six mois ferme), pour trafic d’influence dans le cadre d’énormes marchés publics pouvant aller jusqu’à 5 millions d’euros par an (25 millions de Francs).
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> > C’est donc la première fois, sous la 5e république, qu’un ancien condamné est nommé Premier ministre.
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> > Lorsque François Hollande promettait, il y a quelques jours : « Je n’aurai pas autour de moi à l’Élysée des personnes jugées et condamnées. », il devait certainement parler de Carlos le Chacal.

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> > Mais revenons à ce repris de justice Premier ministre. « Ma probité personnelle n’a jamais été mise en cause. Il n’a jamais été question d’enrichissement personnel ou de financement politique. Honnête homme je suis, honnête homme je resterai. »
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Aucun doute, il est le premier innocent condamné de l’histoire.

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> > Penchons nous, avec l’aide de Ségolène Royal, sur l’affaire de cet « honnête homme ».
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> > 1er volet : Chambre régionale des comptes des Pays de la Loire.
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> > C’est elle (la Chambre des comptes) qui soulève l’affaire, explique le blog de l’Association Désir d’avenir dont la présidente (1) est… Ségolène Royal.
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> > Dans une lettre d’observations datée du 5 février 1995 – Jean-Marc Ayrault dirige la ville de Nantes depuis plus de cinq ans – la Chambre dénonce une magouille de la mairie nantaise, la gestion d’une association intimement liée à la ville de Nantes, baptisée Omnic (2) et chargée entre autres du journal municipal (Nantes passion).

> >
> > Pour les magistrats financiers, cette drôle d’association, dirigée par Jean-Marc Ayrault et son directeur de la Communication à la mairie de Nantes, n’a aucune « réalité propre » : il s’agit, « sous couvert d’une volonté de souplesse de gestion, de s’affranchir des règles de la comptabilité publique ». Pour se donner une idée de grandeur, la dite association recevait plus de 3 millions d’euros de subvention de la mairie en 1993 (15.7 millions de Francs), dont la totalité tombait dans les poches d’un homme d’affaire véreux, Daniel Nedzela, publicitaire, imprimeur, mais aussi… mandataire des comptes de campagne du PS pour un candidat aux législatives de 1993 (et nous découvrirons plus bas le nom de ce mystérieux candidat socialiste…;-)
> >
> > Outre des « anomalies » dans la rémunération des personnels, les magistrats pointent le principal bénéficiaire de l’opération : l’imprimeur Daniel Nedzela (qui « renseigne », contre « commissions », les entreprises de BTP de la région des marchés public à venir, contre une commission de 3%), auquel l’association a confié toutes ses publications entre 1989 et 1994, « sans appel formalisé à la concurrence, ni contrat écrit » (pour un budget de 1.2 millions d’euros (6 millions de francs).
> >
> > En outre, l’homme, qui s’est vu confier la régie pub de Nantes passion, jouit d’une grosse commission sur les recettes publicitaires : 45 %. « La société (de Daniel Nedzela) a bénéficié (…) d’une situation privilégiée », résume la Chambre régionale des comptes. « Ces pratiques constituent un détournement grave des règles du code des marchés publics. » Jean-Marc Ayrault dissout Omnic, avant même la publication du rapport.
> >
> > L’association de Ségolène Royale ajoute les faits suivants, accablant le premier ministre de  son ex :

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L’affaire aurait pu en rester là, mais l’imprimeur est déjà soupçonné par la justice, depuis quelques années, d’être l’un des collecteurs de fonds occultes du PS local. En 1992, le juge Renaud Van Ruymbeke a perquisitionné sa société ; en novembre 1993, il a été incarcéré quelques semaines.
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Pas de financement politique Mr Ayrault ?
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En septembre 1997, deux mois avant la parution de Jean-Marc Ayrault devant le tribunal correctionnel, Daniel Nedzela est condamné pour trafic d’influence à trois ans d’emprisonnement (dont six mois ferme) et 77 000 euros d’amende, pour avoir joué les intermédiaires entre des entreprises et des municipalités socialistes de l’Ouest de la France (dont Nantes). À l’époque, Libération raconte son modus operandi : alors qu’il vendait officiellement des prestations d’« assistance commerciale » à des entreprises, Daniel Nedzela monnayait en réalité des informations confidentielles sur les futurs appels d’offres des municipalités. Le sympathisant socialiste reversait-il une partie de ses commissions à un parti politique ? Dans l’enquête, rien ne l’établit. Mais ce CV sulfureux alimente les pires soupçons dans l’affaire qui vaudra sa condamnation à Jean-Marc Ayrault.
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> >

Ce qui explique, d’une part, le doublement de la condamnation demandée par le parquet, et probablement, mais c’est mon opinion personnelle, le fait que l’avocat de Jean-Marc Ayrault, qui pense que son client s’en tire à très bon compte, ne fait pas appel.
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> > Et dans Libération du 5 mai 1997 (3), on découvre ainsi que :
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Daniel Nedzela n’a (pas) nié avoir collaboré de façon non officielle à des campagnes électorales socialistes. Il a même été mandataire de celle de Jean-Marc Ayrault, député-maire PS de Nantes, pour les législatives de mars 1993. »
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> >

Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
> >
> > © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
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4 mai 2012

LES AMIS SOCIALISTES DE FRANCOIS HOLLANDE SONT DE VERITABLES FAUX-CUL, ET LUI ALORS EST-IL SI FRANC DU COLLIER ?

30 avril 2012

EN VOILA UNE BELLE IMAGE D'UN EVENTUEL FUTUR PRESIDENT. MIEUX VAUT CONSERVER NOTRE NICOLAS SARKOZY

ou là ! ça cartonne dur !

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

Le célèbre journal U.S., The New York Times, plutôt classé à gauche de l’échiquier politique américain, a publié un article sur François Hollande. Comparé à un « pudding au caramel », le candidat socialiste est décrit comme « un personnage politique de seconde zone » dénué de charisme. Si les journalistes français étaient aussi lucides…

  Le journaliste commence par dresser un portrait au vitriol de François Hollande « malgré un régime de pré-campagne », il « a l’air légèrement négligé » et ne fait toujours pas le poids. Reprenant la phrase de Martine Aubry, l’article explique qu’au sein même de son camp politique, Hollande est considéré comme une « couille molle ».

  Le très sérieux New York Times revient ensuite sur le bilan politique ridicule de Hollande. Présent à l’élection grâce au viol de DSK, Hollande s’était même fait doubler par sa propre femme pour la course à la candidature de 2007. Homme politique depuis des décennies, Hollande « n’a jamais été responsable du moindre portefeuille ministériel », ce qui en fait un amateur. Pour le journaliste américain, il a uniquement ses chances grâce à la sarkophobie française. Hollande « n’a pas le cran » pour être un sérieux président.

  Un bilan politique affligeant, un charisme d’andouillette, et pas un seul journaliste français pour soulever les évidences qui sautent à l’esprit du premier observateur objectif. Tout le monde sait que François Hollande n’est pas au niveau. Il n’est pas capable de prendre une décision, de dire, non, il n’a aucun charisme. Tout le monde sait également qu’il n’a aucune expérience politique, qu’il est incompétent sur les dossiers (pourquoi ni Mitterrand ni Jospin ne lui ont jamais confié de ministère ?).

  Pourtant, nos bons journalistes à la botte du Parti font comme si de rien n’était, n’interrogent pas le PS sur l’inexpérience de son dirigeant et sur ses échecs à répétition. Pourquoi Sarkozy est-il interrogé en permanence sur son bilan et François Hollande jamais ? Pourquoi nos journalistes font-ils semblant de ne pas voir ce qui saute aux yeux de tous les observateurs étrangers ?

 

 Et pour ceux qui veulent lire le texte original et ses subtilités: en français dans le texte il est décrit comme une ''couille molle'' 

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22 avril 2012

RESULTAT DES PRESIDENTIELLES 2012

TF1 a envoyé JPP en province pour laisser le champ libre aux deux blondes dans la capitale.

JPPLOUVIERS

21 avril 2012

PAS DE RESULTAT DES ELECTIONS AVANT 20 HEURES DIMANCHE

LANGUEGIF

18 avril 2012

UN CAILLOU DANS LA CHAUSSURE DE FRANCOIS HOLLANDE

valerie_trierweiler_starlette

 

  

 

 

 

 

.RIEN A DIRE.................PAS ENCORE ELU EST DEJA UN TRUAND DANS LA FAMILLE HOLLANDE !!!
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Le fils de Valérie Trierweiler arrêté pour usage de drogue

 

Exclusif : le fils de Valérie Trierweiler a été arrêté par les forces de police pour avoir consommé de la drogue sur la voie publique. L’info, révélée par Staragora, n’a été reprise par aucun journaliste français. Deux poids deux mesures ? Cette affaire soulève aussi l’ambiguïté des liens entre la gauche française et la consommation de drogue.

C’est à la sortie de son luxueux lycée (Claude Bernard, l’un des plus réputés de la capitale) du 16e arrondissement de Paris (François Hollande n’aime pas les riches, mais il se met en couple avec une sacrée bourgeoise !) que le fils de Valérie Trierweiler, s’est fait attraper par des policiers, en train de fumer de la drogue.

Quand on voit les déclarations et propositions irresponsables de la gauche française quant à la consommation de drogues censées être « douces », on imagine que le beau papa du jeune homme, François Hollande, aura surement trouvé le comportement de l’ado cool et branché. Démagogie à tous les niveaux ?

Si Hollande est encore flou sur ce sujet (comme sur tant d’autres…), le progressisme socialiste considère la dépénalisation des drogues dites douces comme une belle évolution. Les Verts en veulent Mélenchon aussi, le PS cédera.

Valérie Trierweiler, une caricature de grosse bourgeoise post soixante-huitarde qui sacrifie l’éducation de son enfant à l’ascension de sa carrière ? Au point de se mettre en couple avec un présidentiable ? Du coup, le jeune, paumé, fume des pétards devant son lycée, comme un appel au secours. On voit bien que la question des valeurs se pose plus que jamais. Dans leur vie privée comme dans leurs propositions politiques, les socialistes prouvent quotidiennement (DSK…) leur nihilisme et leur rejet de toute « valeur », notion fasciste et liberticide.

Interdisez d’interdire, jouissez sans entrave, mais ne vous étonnez pas de retrouver vos enfants drogués au poste de police.

Au delà de la question des valeurs, c’est surtout celle du traitement médiatique qui interpelle ici. L’affaire aurait pu causer du tort à Hollande, aucun journaliste ne l’a même évoquée.

Le fils de Nicolas Sarkozy envoie une tomate sur un policière et l’ensemble des médias français relayent l’information. Une question sur le sujet est même posée au président de la république dans l’émission de Michel Denisot, le Grand Journal.

Le beau fils du candidat socialise passe des heures au commissariat pour détention et consommation de drogue devant un établissement scolaire et rien (même sur le web, personne n’aborde le sujet). Pas un article, une dépêche ou un minimum d’information ne sort. Des médias muselés ?

Qu’on ne vienne pas dire que Valérie Trierweiler n’est pas en campagne et que sa vie ne concerne pas la presse : elle s’est bien rendue aux funérailles officielles des soldats français assassinés par Mohamed Merah comme compagne de Hollande. Elle devrait assumer les responsabilité de son nouveau statut. Et les journalistes devraient faire leur travail consciencieusement et pas en fonction de leur admiration pour François Hollande.

Deux poids deux mesures à ce point là, ce n’est pas du journalisme mais de la propagande !!!

16 avril 2012

FRANCOIS HOLLANDE RECONNAIT SON INCAPACITE A PRESIDER LA FRANCE ET PASSE LE RELAIS A NICOLAS SARKOZY AU MEETING DE VINCENNES

hollandesarkozyvincennes

15 avril 2012

NE TOMBEZ PAS DANS LA FACILITE EN VOTANT POUR UNE GAUCHE MOLLE OU POUR UNE AUTRE GAUCHE, OPTEZ POUR LA CERTITUDE AVEC SARKOZY

 


Belle prose pour tous ceux qui sont indécis et au cas ou leurs idées pencheraient du mauvais côté. 

Texte écrit par Jean D'Ormesson ....
   
> La victoire de François Hollande est à peu près acquise, et elle risque d'être éclatante.
> Le moment est idéal pour se déclarer sarkozyste.
> La question n'est pas de savoir qui l'emportera en mai 2012.
> On a longtemps été convaincu dur comme fer que ce serait M. Strauss-Kahn.
> On a pu croire que ce serait Mme Aubry.
> On a même pu imaginer que, par un coup du sort, ce serait Mme Le Pen.
> Il n'est pas tout à fait exclu que M. Bayrou, M. Mélenchon, M. Montebourg se soient monté le bourrichon jusqu'à se persuader de leur chance de l'emporter.
> Tout sauf Sarkozy.
> N'importe qui sauf Sarkozy.
> Ce sera M. Hollande.
> François Hollande est un parfait honnête homme. Il est intelligent, charmant, cultivé, et même spirituel.
> Il y a chez cet homme-là un mélange de doux rêveur et de professeur Nimbus égaré dans la politique qui le rend sympathique.
> Il est mondialement connu en Corrèze.
> Ce n'est pas lui qui irait courir les établissements de luxe sur les Champs-Élysées, ni les suites des grands hôtels à New York ou à Lille, ni les yachts des milliardaires.
> Il ferait, je le dis sans affectation et sans crainte, un excellent président de la IVe République. Ou plutôt de la IIIe.
> Par temps calme et sans nuages. Il n'est jamais trop bas. Mais pas non plus trop haut.
> C'est une espèce d'entre-deux: un pis-aller historique.
> Ce n'est pas Mitterrand: ce serait plutôt Guy Mollet. Ce n'est pas Jaurès ni Léon Blum: c'est Albert Lebrun. Ce n'est pas Clemenceau: c'est Deschanel.
> Il parle un joli français. Et sa syntaxe est impeccable. On pourrait peut-être l'élire à l'Académie française. Ce serait très bien. Mais en aucun cas à la tête de la Ve République, par gros temps et avis de tempête.
> C'est vrai: Sarkozy en a trop fait. Hollande, c'est l'inverse. Car n'avoir rien fait est un immense avantage, mais il ne faut pas en abuser. Il n'est pas exclu, il est même possible ou plus que possible, que M. Hollande soit élu en mai prochain président de la République.
> C'est qu'à eux deux, M. Hollande et le PS, qui sont assez loin d'être d'accord entre eux -je ne parle même pas de           M. Mélenchon ni de Mme Joly dont ils ont absolument besoin pour gagner et dont les idées sont radicalement opposées à celles de M. Hollande-, ont des arguments de poids : la retraite à 60 ans (quand la durée de vie ne cesse de s'allonger), 60.000 nouveaux fonctionnaires (quand il s'agit surtout de réduire les dépenses publiques), 30% de baisse sur les traitements du président et des ministres (même M. Jean-Marie Le Pen, de glorieuse mémoire, n'a jamais osé aller aussi loin dans le populisme et la démagogie).
> Avec des atouts comme ceux-là, on a de bonnes chances de gagner. 
> Aussi n'est-ce pas dans la perspective de l'élection de 2012 que je me situe.
> C'est avec le souci du jugement de l'histoire. M. Sarkozy, autant le reconnaitre, a fait pas mal d'erreurs.
> À voir comment se présente la campagne d'un Parti socialiste qui semble n'avoir pas appris grand-chose des leçons de son temps, ce sera bien pire avec lui qu'avec M. Sarkozy. Les déclarations d'intention ne valent rien.
> Il faut des exemples vivants.
> M. Zapatero, en Espagne, est un homme plus qu'estimable. Il est socialiste. Le chômage en Espagne est plus du double du nôtre.
> M. Papandréou en Grèce est socialiste. Est-ce le sort de la Grèce que nous souhaitons pour la France?
> M. Sarkozy a été plus attaqué, plus vilipendé, plus trainé dans la boue qu'aucun dirigeant depuis de longues années.
> Il a pourtant maintenu le pays hors de l'eau au cours d'une des pires crises que nous ayons jamais connues.
> Il n'est même pas impossible que Mme Merkel et lui aient sauvé l'Europe et l'euro.
> Pour affronter le jugement de l'histoire, je choisis le camp, à peu près cohérent, Sarkozy-Fillon-Juppé contre le camp, incohérent jusqu'à l'absurde, Hollande (Hollande président ? On croit rêver, disait Fabius) -Aubry-Joly-Mélenchon.
> Bonaparte Premier consul prétendait que le seul crime en politique consistait à avoir des ambitions plus hautes que ses capacités.
> Je suis sûr que François Hollande lui-même a des cauchemars la nuit à l'idée d'être appelé demain à diriger le pays avec le concours des amis de toutes sortes et étrangement bariolés que lui a réservés le destin.
> Je veux bien croire -je n'en suis pas si sûr que pour 2012 les dés sont déjà jetés, que les handicaps du président sortant sont bien lourds pour être surmontés, que le retard est trop rude pour être rattrapé.
> J'imagine très bien l'explosion d'enthousiasme sur la place de la Bastille ce soir de mai 2012 où l'élection de M. François Hollande à la magistrature suprême sera enfin annoncée.
> Je me demande seulement dans quel état sera la France en 2014 ou en 2015.
>    
> Jean d'Ormesson. 
>

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